La presse en parle

L’histoire d’une famille pleine d’espoir, d’ambitions et d’envies de faire du bien-être de nos aînés une priorité, à travers une maison de retraite différente et bienveillante. Depuis sa création par Suzanne Boucraut en 1951, notre association n’a cessée de grandir et d’innover pour devenir, après quatre générations, une véritable maison à vivre.

Pssst ! On parle de nous

ASH : un Ehpad où il fait bon vivre

A Marseille, Laurent Boucraut dirige un Ehpad d’un nouveau genre. Récemment labellisée « tiers-lieu », sa structure héberge, en plus des personnes âgées dépendantes, une micro-crèche, un espace de coworking, un appartement étudiant, un jardin partagé et, très bientôt, un food-truck

Lire la suite

Businews : Les jardins d’Haïti, un nouveau regard sur le troisième âge !

Maisons à vivre plutôt qu’Ephad, les jardins d’Haïti et les jardins du Cigaloun, pilotés par la famille Boucraut depuis 4 générations visent une vie collective animée pour leurs résidents et misent sur la transmission entre générations.

Lire la suite

SO GOOD : Les Jardins d’Haïti, le grand mix

Accueillir une crèche dans un Ehpad ? Des soirées électro ou des cours de danse ? Même pas peur ! A marseille, Les Jardins d'Haïti ont un motto : l'ouverture, pour lutter contre l'isolement des aînés. Et l'établissement ne compte pas s'arrêter là. Il accueillera bientôt un marché bio, food truck ou guinguette.

Lire la suite

La Provence : Maison à vivre nouvelle génération !

Laurent et Stephane Boucraut succèdent à Jacques, leur père, et entament la quatrième génération. Ils proposent une toute nouvelle façon de voir la vieillesse.

Lire la suite

Made in Marseille : Quand une maison de retraite brise tous les codes !

On y retrouve Antoinette, pensionnaire de 80 ans. Le nez dans le bac des aromates, elle défie une jeune infirmière armée d’un smartphone doté d’une application qui reconnaît les végétaux. La technologie s’incline devant l’odorat de l’octogénaire : « Origan, sauge, thym, romarin… »

Lire la suite

Nouvel Obs : Cette maison de retraite associative fait figure de modèle.

Un salon de coiffure qui, ce matin d’octobre, tourne à plein régime. Attablé dans le patio ombragé ? Un salarié d’une multinationale de l’énergie en train de télétravailler. La veille, dans la salle de spectacle de 300 mètres carrés, Antoinette a assisté à une performance de danse qu’on aurait très bien pu voir dans n’importe quel lieu culturel. « Ici, ça n’a rien à voir avec l’idée que je me faisais d’un Ehpad », sourit-elle.

Lire la suite

Ils nous aiment
et c'est réciproque